J’ai souvent écrit sur mes états d’âmes en lien avec les petits dudes, car même si on déteste se l’admettre, les messieurs, ça reste quand même un de nos sujets préférés… (* soupir de désespoir ici).
Un peu. Beaucoup. Passionnément.
On aime les détester, et honnêtement, c’est «ben» correct.
C’est qu’après avoir daté marde par dessus marde, tu viens qu’à perdre la micro lueur d’espoir de trouver quelqu’un qui a de l’allure dans ce bas monde.
Petit à petit, tu deviens cold as ice (ice ice baby…)
Tu te jures à toi-même de ne plus jamais tomber pour le prochain venu au yeux bleus remplis de « bonnes intentions ».
T’es en mode : je déteste les humains (aka mon mood 365 jours par année #viellefille)
…
Et puis, un beau jour, PATAKLAOW! Tes genoux redeviennent mous, tes petits sourires niaiseux pour absolument tout et rien te réapparaissent dans «face», et tes deux yeux dans graisse de bine 24/24 ne trompent personne.
T’es dans marde.
C’est à ce moment-là que je te criais : «RUN FOREST RUN».
C’est toujours quand tu t’y attends pas.
Quand y se fait finalement une blonde/fréquentation.
Quand y’est trop tard.
Quand ta confiance en la race humaine s’est envolée avec le reste de ton amour propre.
Quand t’as couché avec, un soir où t’étais «ben» cocktail et que tu te rends compte un mois plus tard (comme une championne) que finalement, tu le trouves pas pire pentoute.
Quand ça te tente juste pas.
Quand tu décides finalement de le friend zoner.
Quand lui décide finalement de TE friend zoner.
Quand t’as pas le temps, parce que ton rythme de vie te donne à peine le temps de respirer et de crier pinotte.
Bref, c’est jamais quand t’es prête.
Un prince charmant, ça vient en package deal avec un timing de marde, mais ça vient aussi avec bien du bonheur (quand tu le trouves).
La morale de l’histoire ?
Ça aurait l’air qu’il faut pas désespérer.
XO
Alexe Raymond, réviseure, raymond.alexe@gmail.com