Parce que je pense que vous aimez vous informer sur ce sujet et qu’il est grandement temps d’agir pour préserver l’environnement, voici un autre article sur comment diminuer ses déchets et, par le fait même, son empreinte écologique. Et voici trois exemples qui prouvent que diminuer ses déchets c’est payant!
BANNIR LES ESSUIE-TOUT
C’est cher et leur durée de vie est simplement de quelques secondes. Un bon vieux chiffon en microfibre pourra absorber les dégâts en un clin d’œil et être réutilisé plusieurs fois. Vous pouvez même utiliser de vieilles serviettes ou divers autres tissus pour réduire les coûts de l’action au minimum.
RECYCLER SES VÊTEMENTS BRISÉS
Vous savez tous que l’on peut donner les vêtements que l’on ne veut plus à une foule d’organismes de bienfaisance, mais saviez-vous qu’il est également possible de revaloriser de vieux morceaux usés et même brisés? Eh oui, dans les boutiques H&M, vous pouvez déposer les items sélectionnés dans des bacs prévus à cet effet. En plus, si vous le désirez, la personne à la caisse peut vous donner un beau coupon de 5 $ de réduction sur un achat futur. C’est vachement payant de recycler ?!
DU BOUILLON DE LÉGUMES GRATUIT
Hé, là, faut que l’on se parle. Je ne sais pas si tu achètes encore du bouillon de légumes déjà fait en petite poudre, mais ce truc va ajouter de la nouveauté à tes recettes. Depuis une couple d’années, je mets dans un sac hermétique qui va au congélateur toutes mes épluchures de carottes, mes croûtes de parmesan, mes feuilles de céleri, les morceaux que je n’utilise pas des oignons et mes fines herbes flétries. Une fois que le sac est bien plein, je mets le tout dans une casserole avec de l’eau et quelques épices, et le tour est joué. Plus ça boue, plus c’est gouteux. Ça t’a coûté un gros 0 $ parce que ce sont des éléments qui se seraient retrouvés à la décharge (ou au compost).
Voici mes derniers articles sur le sujet, si jamais vous souhaitiez obtenir d’autres trucs : ICI pour réduire tes déchets d’hygiène personnelle et LÀ pour tes sorties dans les restaurants.
Par Alexandre Rochette