Cette semaine, la mode prend un break. Parce qu’on n’est pas tous des Édith Piaf dans l’âme et qu’on ne voit pas toujours la vie en rose, ça c’est pour toi ma petite rêveuse désenchantée.
C’est dans les moments où t’as envie de sombrer dans l’enfer de la drogue et l’alcool, d’aller te faire tatouer des phrases « deep » qui montrent que t’as du vécue ou d’apprendre à jouer de la guitare acoustique pour pouvoir faire ta Taylor Swift et laisser aller tes «tear drops on your guitar» que tu te rends compte à quel point on ne tient pas à grand-chose.
Là, c’est le moment où je t’avoue que j’aime ‘’bin’’ ça tourner le fer dans plaie et écouter du City and Colour quand je suis triste, écouter The Note Book quand je suis en peine d’amour, et que manger mes sentiments est maintenant rendu automatique a quelconques émotions ressenties.
PAR CONTRE, il m’arrive dans ces moments de noirceurs extrêmes de me rendre compte que peu importe à quel point on se sent seule, il va toujours y avoir un petit comique quelque part qui va être prêt à se « casser la gueule » volontairement sur un trottoir pour te faire rire quand tu as les larmes aux yeux, une femme extraordinaire qui n’aura pas peur d’avoir l’air folle ou ridicule dans un endroit public pour te faire éclater de rire et remettre la petite étincelle dans tes yeux, une grande sœur qui va te faire a souper et t’écouter pleurer littéralement sur son épaule sans rien dire jusqu’à tant que t’ai complètement mouillé son chandail (digne d’une descente au Super Aquaclub), un petit cute qui, sans te le dire, va t’apporter ton dessert préférer pour te faire oublier ta journée de marde, un ange béni des dieux qui va te dire : « je m’occupe de toute, relaxe ».
Accroche-toi, prépare-toi pour toute une ride si t’es game parce qu’à go ça recommence.
GO!