Cette semaine, je tenais à écrire quelque chose de vraiment spécial, quelque chose qui vient du plus profond de mon cœur. Évidemment, c’est un sujet quand même assez personnel et, d’une manière, je me surexpose probablement beaucoup, mais je suis convaincu que ça en vaut la peine.
Cette semaine, je veux m’adresser à toi.
Toi, mon ami(e).
Toi, qui est disponible une grande majorité du temps quand j’en ai besoin. Toi, qui sais quasiment toujours quoi dire et qui, quand tu ne sais pas quoi dire, te contentes de m’écouter et de me laisser cracher toutes mes insécurités, mes rages et mes déboires. Toi, qui par ta simple présence est une des personnes les plus réconfortantes que je connaisse.
Tu m’as accompagné au travers de différentes périodes de ma vie, pas toujours les plus lumineuses, mais tu n’es jamais parti. Tu as toujours tenu ton bout, tu as toujours eu espoir qu’il y aurait des jours meilleurs et il y en a eu. Et il y en aura encore, ne t’en fais pas!
Tu m’as probablement vu à mon pire et, malgré tout, tu m’accompagnes toujours vers mon meilleur.
Je veux prendre le temps de te dire « merci », tout simplement. Je ne te le dis pas assez, et je devrais, mais j’y pense rarement. Ce n’est pas que je te néglige, au contraire, je ne voudrais pas que tu penses ça. Tu as tellement de valeur à mes yeux.
Toi, qui me fais constamment découvrir de la nouvelle musique.
Toi, qui me fais rire tellement fort que j’en ai mal au ventre.
Toi, qui m’achètes un café de temps en temps.
Toi, qui m’as vu « l’échapper » plus d’une fois.
Toi, qui m’accompagnes dans mes marathons de Family Guy sur Netflix.
Toi, qui m’aides à comprendre toutes sortes de trucs à propos de tout et de rien.
Toi, qui transformes les balades en voiture en concours de « Qui pousse la note la plus haute? »
Toi, qui m’offres une épaule sur laquelle pleurer.
Toi, qui, par tes petits gestes, m’aides à devenir une meilleure personne et à découvrir une version « améliorée » de qui je suis.
Toi, qui n’as pas peur de me dire les choses telles qu’elles le sont, et non telles que j’aimerais les entendre.
Bref, à toi, qui me permets d’être réellement moi-même : merci.
Merci de me supporter même si je suis pas toujours facile, merci de faire du lundi une journée moins pénible, merci de croire en moi (même quand je n’y crois pas), merci de me pousser à faire des choses que je ne ferais jamais, merci d’avoir autant d’écoute, merci de rendre ma vie beaucoup plus intéressante.
Et, finalement, merci d’être toi.
Par Guillaume Lapierre