C’est l’automne, enfin la saison des trop-pleins de choses à saveur de citrouille et bientôt l’Halloween qui sera à nos portes! C’est aussi la saison parfaite pour découvrir de nouveaux artistes qui nous feront entrer dans la saison froide de façon agréable. Depuis quelque temps déjà, il fait parler de lui, désolée du retard, je te parle bien sûr de Cédrik St-Onge, le compositeur gaspésien.
L’artiste de Caplan en Gaspésie est un véritable vent de fraicheur pour la musique francophone. J’te dis! Du haut de ses vingt ans, ce gars-là suit les traces de Louis-Jean Cormier (c’est lui qui a réalisé son projet d’EP, t’sais) de très près; une chose est certaine, ce n’est pas le talent qui manque. Les nombreux prix qu’il a gagnés peuvent certainement témoigner de son don pour la musique.
(Vidéoclip J’Feel kétaine à soir)
Avec un mini-album pour le représenter, Les yeux comme deux bousoles, je te dirais que tu as une bonne idée du travail de St-Onge. C’est bon, très bon. Sa voix franche accompagne parfaitement les paroles qui sont soigneusement choisies, elles nous surprennent d’être autant puissantes et matures pour un artiste très jeune et nouveau dans le milieu. Son style alternatif à tendance indie est un accompagnement parfait pour toute circonstance. Tout est bon dans ce mini-album, tout. De la pochette qui est super belle à la musique d’une grande qualité du point de vue artistique. C’est sa marque, il possède une touche qu’il est impossible que retrouver ailleurs.
Crédit photo : Cédrik St-Onge
Le 26 septembre dernier, la chanson J’Feel kétaine à soir a été illustrée en images. Je tiens à en parler parce que je trouve que le vidéo est véritablement beau, il nous permet de rentrer un peu dans le monde de Cédrik St-Onge (les extraits sont tournés par sa super mamie, t’sais), mais aussi parce que j’ai un gros coup de cœur pour cette chanson. Non, mais, quelle fille n’aimerait pas se faire chanter ça?
P’tit crush naissant juste ici, d’après moi on n’a pas fini d’entendre parler de lui (pour mon plus grand plaisir)!
Crédit photo : Louis-Charles Dumais