C’est l’heure des confessions : je suis une accro à Netflix et aux séries télé. Mon genre, c’est plus suspense/policier/tueur en série, c’est rare que j’aime ce qui est dans l’humour. Quand les gens me parlaient de Friends ou de How i met your mother, je croyais qu’ils exagéraient. Mais un soir d’hiver, enroulée dans une doudou, je m’y suis lancée; j’ai écouté le premier épisode de How I met. (Et ensuite, toute la saison 1 dans la même nuit. Et ensuite, toutes les autres saisons en 3 semaines.)
Je peux maintenant affirmer haut et fort que How I met your mother est la meilleure série de tous les temps. Je suis triste de l’avoir écoutée déjà, parce que je trouverai jamais mieux. Je l’écoute donc en repeat, et voici pourquoi :
Parce que les personnages sont trop attachants; la naïveté de Marshall, l’attitude confiante de Robin, l’humour de Barney, la gentillesse de Lily et l’espoir persistant de Ted. On peut tous se retrouver un peu dans chacun d’entre eux.
Parce que même après ta 8e écoute, tu vas toujours rire aux blagues, pleurer dans les moments émouvants et être touché.e comme si c’était la première fois que tu l’écoutais.
Parce que c’est juste legen… wait for it… DARY.
Parce qu’on y apprend les meilleures leçons de vie; sur l’amitié, sur l’amour, sur la famille, sur le travail, sur la vie en général. La plus belle chose que j’ai retenue de la série, c’est comment on ne peut rien forcer dans la vie, et que tout arrive pour une raison qu’on connaîtra éventuellement.
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Parce que cette émission m’a permis de continuer à croire en l’amour (OK, je suis peut-être un peu trop investie dans les séries que j’écoute). Sérieusement, suivre Ted dans sa grande quête de l’amour en apprenant plusieurs leçons et en vivant des épreuves terribles, sans jamais baisser les bras, ça redonne espoir. Tous les Ted Mosby de ce monde vont finir par trouver.
Bref, How I met your mother, c’est pas juste un petit TV show humoristique. C’est faire partie de la vie de 5 personnages qui seront dans mon cœur pour toujours. C’est vivre plein d’émotions. C’est surtout ne jamais se sentir seul.e le vendredi soir.
P.-s – Je te jure qu’on s’habitue aux rires en canne d’arrière plan. ?
Par Sarah Prud’homme
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