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Tu peux être un plan A, un plan B ou un plan Q.
L’important, c’est de connaître ta valeur dans l’alphabet.
Trouve une personne qui sait bien te lire.
C’est facile, les yeux qui te verront comme un « A » sauront qu’ils ne veulent jamais t’égarer dans la jungle des 25 autres lettres.
Ces yeux liront chacun de tes états d’âme comme une histoire que l’on veut sans fin. Des pages à effleurer, doucement, du bout des doigts… à l’infini.
Cherche ce regard qui est fier de toi, même quand tu fais 2+2 avec ta calculatrice.
Être un plan A, c’est de voir l’autre se battre, à mains nues, pour t’avoir dans sa vie quand des combats s’imposent.
Être un plan A, c’est de savoir que l’on pense à toi au réveil, dès qu’on ouvre l’œil. Mais c’est aussi d’être là, quand on ferme l’œil. Et quand les yeux ne dorment pas? On te parle à toi, parce que t’es rassurant.e, parce que t’es le plan principal, celui qui fait du bien.
Deux plans A ensemble, côte à côte, ça ne se lâche pas la main. La preuve : AA (ajoute des ronds sur la pointe des lettres et découvres-y des bonhommes).
Un plan A, c’pas là « en attendant ». Ça, c’est la job du Q.
Être un plan A, c’est de sentir que l’autre a envie de nous voir. C’est d’être témoin des gestes plus que des mots.
La route peut être longue avant de trouver les bras qui t’accueilleront comme il se doit.
En attendant, sois ton propre plan A.
Accorde-toi l’importance d’être la première lettre, toujours.