Dans la vie, tout est une question de choix, et ce, dès que tu te lèves le matin.
Tu choisis si tu te lèves du pied gauche ou non.
Tu choisis si tu souris à la personne qui te prépare ton latté au Café du coin.
Tu choisis si tu ignores le chauffeur d’autobus quand il te salue pendant que tu « bipes » ta carte.
Tu choisis si l’odeur de la personne assise à côté de toi te dérange ou non.
Je dis ça parce qu’on aime tellement chialer. Des gens qui chialent, que ce soit pour des situations sérieuses ou des choses anodines, on en trouve au centimètre carré. Pourquoi sommes-nous autant chialeux et chialeuses? C’est pour un autre débat. Ce que je peux te dire, c’est que ça en dégage de la négativité dans une journée.
On accorde tellement de place aux petites choses stupides qui affectent notre humeur inutilement et celle des autres. C’est négatif la plupart du temps. Et pourtant, c’est facile de simplement les ignorer.
C’est facile de se lever du bon pied le matin, de prendre une seconde pour sourire à la personne qui te sert ton café, de répondre gentiment au chauffeur et de te foutre complètement de l’odeur de ton voisin de siège.
C’est facile d’être positif ou positive et de le répandre aux alentours parce que c’est contagieux.
C’est facile de trouver le bonheur dans les petites choses.
J’ai commencé à aborder les choses avec une plus grande ouverture et avec bonne humeur. Et maintenant, je chiale naturellement beaucoup moins. Puisque j’ai arrêté de me casser la tête avec des banalités négatives, j’ai plus d’énergie, que j’investis sur des choses qui en valent la peine.
Souris à la vie et elle te sourira en retour comme on dit!
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