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Dès notre plus jeune âge, on apprend par soi-même notre intérêt envers le sexe opposé ou le nôtre. Ça nous surprend parfois à un moment où on ne s’y attend pas. C’est comme ça.
Un regard, un baiser ou un verre de trop et hop, nous voilà l’intérêt à découvert.
Puis parfois, on tarde à se l’admettre. C’est justement ce jeune âge-là qui nous fait dire que ça va passer. Mais souvent, ça ne passe pas. On est pris dans cette belle aventure qu’est la découverte de soi où notre intérêt passe trop souvent devant notre bien-être.
On peut se torturer longtemps dans des histoires qui ne sont pas pour nous.
On peut se torturer davantage dans des histoires qui ne sont pas pour nous alors qu’on en est pleinement conscients.
Tôt ou tard, on se remettra en question en se disant qu’on a passé trop de temps là-dedans.
Mais on aura appris, et ça, ça n’a pas de prix. Y a rien de plus valorisant, en tant qu’homme, qu’apprendre de ses erreurs.
Je suis cet homme. Au passé simple. Très simple et imparfait.
Ce qui m’amène à me dire que l’homme imparfait au passé simple, mais composé de tourments, fait que son futur est conditionnel au présent qu’il tente de structurer.
Il est impératif qu’il participe à le rendre toujours meilleur bien que, malgré cet indicatif, il ne puisse jamais être plus-que-parfait, même en conjuguant les verbes « tenter » et « améliorer ».
Par contre, aucune place ne sera laissée à « abandonner », et ce, à l’infinitif.
La beauté dans tout cela, c’est qu’à reconnaître et à constater nos défauts, la possibilité d’un cheminement positif est toujours possible.
Pas besoin d’un Bescherelle pour accorder tout ça. Il faut seulement le faire en genre et en nombre d’efforts et de bonne volonté.
Suffit de trouver, en parfait accord, son partenaire et complément d’objet direct ou indirect, et la vie se conjuguera de la bonne manière et au temps qui nous conviendra.
Ce n’est pas si difficile à comprendre, encore faut-il prendre le temps de bien évaluer ses besoins et vers où on veut aller…