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On vit dans une société qui nous pousse à nous comparer. À l’école, on est jugé.e selon une moyenne. Dans les publicités, on nous vend des canons de beauté comme l’objectif ultime. Sur les réseaux sociaux, c’est des compétitions de mentions « j’aime ». En amour, on se compare par rapport à la longueur de nos relations ou au nombre de partenaires.
On entre dans des guerres de performance interminables. On se juge, on se critique. On veut être numéro un. On culpabilise parce qu’on ne l’est pas.
Et si on arrêtait un instant?
La moyenne de classe n’est pas gage de tes capacités à toi. La beauté ne pourrait pas être plus subjective. Les mentions « j’aime » ne définissent pas ce que tu vaux. Ta vie sentimentale n’appartient qu’à toi…
Se comparer crée des complexes et de l’insatisfaction. C’est perdre son énergie aux mauvais endroits. On est toutes et tous différents et on a nos propres forces et nos propres intérêts. On se compare à des normes complètement subjectives puisque la normalité est relative.
Comme a dit Albert Einstein : « Tout le monde est un génie. Mais si on juge un poisson sur sa capacité à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide. »
Il en va de même pour le physique et l’apparence en général. Et si on arrêtait de se comparer, de se critiquer et de se juger pour commencer à s’accepter, à s’apprécier et à se complimenter… avec sincérité?
On ne devrait se comparer qu’à soi. Pour s’améliorer. Pas par souci de performance, mais par souci de bien-être pour devenir le meilleur de nous-mêmes. Pour soi et non pour les autres ou pour la norme.
À la , on l’a bien compris : le vrai luxe, c’est d’être soi-même.