Vous connaissez peut-être le feu groupe québécois Tricot Machine? Eh bien, la talentueuse moitié féminine de ce band, Catherine Leduc, lançait son deuxième album la semaine dernière, intitulé Un bras de distance avec le soleil. Ayant un grand talent pour transporter les auditeurs, elle nous amène aujourd’hui assez près du soleil pour en apprécier la splendeur.
Je ne savais pas à quoi m’attendre quand l’album s’est présenté. Je connaissais Catherine Leduc pour son travail au sein de Tricot Machine, mais je ne la connaissais pas en tant qu’artiste soliste (shame on me, je sais). J’ai cependant été agréablement surprise par l’album de neuf chansons. Elle nous invite dans son monde, se dénudant complètement. L’artiste décrit en toute vulnérabilité ses expériences au sein du monde de la musique, en démolissant d’une manière envoûtante celui-ci, qui paraît si beau. J’ai adoré ce petit côté sensible, cela rend l’album et l’artiste plus accessible, comme si elle nous faisait une place dans son salon en nous offrant un verre de vin.
Associé avec la maison de disque Grosse Boîte (Jean Leloup, Les sœurs Boulay), c’est la naissance de son deuxième opus. Chaque titre nous transporte à sa manière, nous faisant découvrir une toute nouvelle facette de l’artiste.
Mes coups de cœur sont : Good Eye, La fin ou le début et Saison de la grise. Laisse-toi charmer par Catherine Leduc, selon moi, elle sera ton coup de cœur à toi aussi.
Crédit : Danstesoreilles.tv
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