C’est en faisant le ménage dans ma bibliothèque cette semaine que j’ai retrouvé un de mes livres préf de tout les temps : How Starbucks saved my life.
Pour ceux qui me connaissent bien, vous savez à quel point mon amour pour le café est sans limites, SURTOUT quand il s’agit de Starbucks. Cette compagnie-là, real talk c’est du bonheur industriel, n’ayons pas peur des mots!
Il y a de cela quelques années, lorsque j’habitais encore à Little Rock (et que je portais des bottes de cowboy) je suis tombé sur ce livre au Barnes & Noble lorsque j’attendais pour commander un café, parce qu’of course il y avait un Starbucks à l’intérieur du B&N.
C’est donc l’histoire vraie de Micheal Gates Gill (un business man ‘’sa coche’’) qui avait beaucoup de bien belles choses et une splendide petite famille, quand du jour au lendemain, PIF PAF POUF pu rien. Adios la job de rêve, bien le bonjour le divorce, et aloha la tumeur au cerveau.
Laissé à lui-même, notre cher petit monsieur se trouve dans l’obligation, à 50 ans, de retourner à la casse départ, c’est-à-dire pas bien loin de la situation dans laquelle les gens de mon âge (20-25 ans) se trouvent. Pas besoin de vous voler le punch en vous disant qu’il deviendra un barista hors pair.
Malgré qu’il ne s’agisse pas d’un roman policier avec un 10/10 pour le niveau suspense, ce bouquin est un petit vent de fraicheur, mais surtout un cri du cœur.
Ce livre-là, c’est le genre de livre que tu traines partout. Que ce soit dans le métro, dans l’autobus, en ligne pour payer au magasin, en attente chez le médecin, dans ton le lit le soir en t’endormant la face dedans. PARTOUT.
C’est aussi le genre de livre qui est en état de décomposition avancé lorsque t’es rendu à la moitié, et clairement en phase terminale quand t’es en train de le finir.
Allez mes petits amoureux (euses) du café, je ne vous en dis pas plus. Il est grandement temps d’aller faire un brin de lecture! (wink wink)