Ne pas avoir de chum en date de la St-Valentin est synonyme d’écrire une ode d’amour à son animal domestique.
Ma chère petite Bunny (3 lb),
Quand je te regarde, tu me donnes envie de m’époumoner à chanter : «Oh Bunny you’re so fine, you’re so fine you blow my mind, hey Bunny, hey, hey, hey Bunny!»
Même quand tu manges ma paire de souliers en cuir préféré qui m’ont couté les yeux de la tête, comme si je ne t’avais pas nourri pendant des décennies, je t’aime quand même.
Bunny rime aussi avec pipi au lit. Parce que tu as beau être la chose la plus adorable qui soit, ton pipi y pu (ça par contre je ne mentirais pas là-dessus).
Mais quand je pleure et que tu viens doucement à côté de mon petit visage pour licher mes larmes, BIN LÀ j’oublie automatiquement que t’as mangé mon beau divan à 700$ lorsqu’il avait à peine 24 heures de vie, ou encore que tu as ruiné mes beaux voiles fancy dans ma chambre à 100$ parce que justement tu as fait pipi dessus.
L’amour rend aveugle c’est certain!
Tu es aussi ridiculement la plus cute quand tu tombes sur tes fesses en essayant de grimper sur le divan pour venir t’asseoir sur mon clavier d’ordinateur lorsque j’écris mes articles (comme en ce moment d’ailleurs). Ma fille, tu as un sens du synchronisme que j’admire.
Tu es simplement magique! Magique au point de faire disparaître mon chargeur de MacBook Pro …
La cerise sur le gâteau (ou la carotte au bout du tunnel ?), c’est quand je me lève le matin et tu viens me voir en courant, mais que tu es incapable de freiner alors tu glisses et tu t’effoires sur mes pieds. TSÉ!
Ma très chère Bunny, toi et moi on est une équipe de fuego et je ne te remplacerais contre aucun petit dude même s’il ressemble de près ou de loin à Ryan Gosseling.